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Pourquoi l’ENCG Settat cartonne

  • Souvent classée parmi les meilleures business schools au Maroc
  • Bientôt un MBA!
  • Une section française du réseau des alumni voit le jour
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L’ENCG Settat est également très active en matière de formation continue. Ce créneau lui permet de générer des recettes de près de 35 millions de DH par an. Sur cette activité, elle est au coude à coude avec l’ENCG de Casablanca (Ph. ENCG Settat)  

Parmi le réseau des 12 ENCG, celle de Settat est la seule à figurer dans le top 5 du classement Eduniversal des meilleures business schools au Maroc. Elle rejoint ainsi d’autres écoles publiques, telles que l’ISCAE et la School of Business Administration d’Al Akhawayn. Auprès des employeurs, l’ENCG Settat jouit d’une forte image de marque. L’établissement revendique un taux d’insertion professionnelle de 99% à 6 mois de l’obtention du diplôme. Qu’est-ce qui fait la force de son modèle? «C’est d’abord dû à notre corps enseignant formé de hauts calibres, y compris parmi les cadres d’entreprises», souligne son directeur par intérim, Mohamed Makhroute. Le responsable relève également une forte ouverture de l’école sur son environnement, à travers divers partenariats académiques, ainsi qu’avec de grandes sociétés. Cela permet d’offrir aux étudiants des opportunités de stages, d’insertion professionnelle et de mobilité à l’international. Grâce à son réseau d’écoles partenaires, publiques et privées, l’ENCG Settat peut envoyer 500 étudiants par an pour des échanges à l’international, avec à la clé des doubles diplômes. «Nous couvrons presque tous les continents. Il nous reste l’Asie, nous sommes en négociation avec une université chinoise pour une convention», confie Makhroute. L’an dernier, l’école s’est lancée dans la formation par alternance, en signant une convention avec le groupe Marjane, pour un cursus autour de la distribution moderne.
Autre atout, et non des moindres, les activités para-universitaires de l’établissement qui abrite 17 clubs étudiants (art, sport, entrepreneuriat, journalisme, écologie…). L’un des clubs porte un projet de radio dédiée aux étudiants, destinée à «vulgariser des concepts pédagogiques».
Enfin, l’école, qui fête cette année ses 30 ans, peut compter sur un réseau de 3.000 alumni. Récemment, une branche française de l’association des anciens a été créée à Paris. A la prochaine rentrée, la doyenne des ENCG (créée en 1994 avec celle d’Agadir) envisage d’ouvrir de nouvelles filières orientées digital. Elle prévoit même un MBA en collaboration avec des partenaires. Une expérience qu’elle a déjà tentée entre 2016 et 2018.

Ahlam NAZIH

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